- INFORMATION !

Attention avis aux abonnés/soutien !
Suite à une évolution technique avec changement d’IP émettrice, certains serveurs de mail considèrent NotreJournal comme diffuseur de SPAMS et en bloquent les mails.
Ce problème va être prochainement résolu mais il est possible (voire certain !) que vous ne receviez pas correctement nos envois.
- Les membres/soutiens peuvent accéder aux envois quotidiens n’oubliez pas de vous faire reconnaitre AVANT ! -

- Voir les quotidiennes -

Avez-vous pris votre abonnement 2025 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


ATTENTION pour 2026 les participations vont augmenter, les engagements actuels ne varient pas !
Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Vous êtes le 7193ème visiteur(s) pour aujourd'hui pensez à vous abonner pour soutenir le travail du site !
Faites un Don/soutien régulier ou autre ! Soutien-Don


Plus Français que ceux de "métropole".

, popularité : 2%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Bonjour Visiteur à partir du 15 juillet 2025

Nous avions eu droit à l’illustre et mémorable « Je vous ai compris » et, tout récemment, nous avons eu droit, à bien des niveaux inférieurs bien sûr, au « Vous ne m’avez pas compris », du politologue Roland Cayrol, dans sa lettre de « repentance » adressée à tous ceux qui ne l’avez pas compris, suite à sa prestation désastreuse lors de l’émission « C dans l’air » du lundi 7 septembre 2015.

Dans cette même lettre Roland Cayrol nous rappelait ses origines « Pieds-Noirs », ce qui, évidemment, n’excuse rien, bien au contraire.

Pour ceux qui ne se souviendraient pas d’avoir été ainsi affligés, voici les propos tenus par Cayrol ce jour-là :

A la question posée par Yves Calvi : « La France peut-elle accueillir 24.000 réfugiés ? », le politologue n’avait pas hésité une seule seconde pour répondre ; « La France a bien accueilli, en 1962, plus d’un million de Pieds-Noirs ! ».

*N’en déplaise à Roland Cayrol, il s’agissait d’un million de Français qui revenaient chez eux, dans leur pays, dans leur patrie, et qui ne réclamaient pas le « droit d’asile ». Il m’est pénible de lui rappeler qu’ils sont loin d’avoir été bien accueilli : Gaston Defferre : « Qu’ils quittent Marseille en vitesse et qu’ils essaient de se réadapter ailleurs. »

Ceci remis en mémoire, ce n’est pas fini.

La surprise nous est venue de là où on ne l’attendait certainement pas : du « Figaro Magazine » du 11 septembre 2015.

Véronique Grousset, dans un article intitulé « Réfugiés, ce que nous enseigne notre expérience en la matière ».

Le départ était excellent : « 1,2 millions de Pieds-Noirs et de Harkis brutalement déracinés en 1962, par la décolonisation sanglante du Maghreb, n’ont pas été accueillis en France à bras ouverts, loin de là… (Bravo, mais la suite est catastrophique !)

…mais leurs descendants n’en sont pas moins devenus d’excellents français »

Donc, si je comprends bien, et je crois vous avoir bien compris, nous, les Pieds-Noirs, arrivés en 1962, n’étions pas d’excellents français et, fort heureusement, nos descendants le sont devenus…sans doute malgré nous !

Alors je m’adresse directement, et personnellement, à Guillaume Roquette, directeur de la rédaction du « Figaro Magazine » : « Aurez-vous l’obligeance de nous tenir informés sur « l’admonestation » que, nous l’espérons, vous ne manquerez pas d’adresser à cette « damoiselle ». Ne serait-ce que pour lui conseiller de tremper sept fois sa plume dans l’encrier avant d’écrire de telles âneries ! »

J’espère également que vous nous rendrez tout de même cette justice d’admettre que nous nous sommes « intégrés » ou « assimilés », à vous de choisir, bien plus facilement, et avec combien moins de problèmes puisque nous avions les mêmes droits, que tous les « migrants » que la France si généreuse a accueilli depuis 1962 !

Et cela très facilement car, que cela plaise ou non aux Français de métropole, nous étions Français autant qu’eux, si ce n’est davantage car nous, nous nous sommes battus les armes à la main pour conserver ces départements à la France, aux côtés de l’armée française, jusqu’au jour où elle nous a trahi sur ordre, et sommes partis pour ne pas changer de nationalité.

Et ce n’est pas le cas de tous les Français aujourd’hui !

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2015/...