Une réunion secrète de la Commission européenne, révélée par le Congrès américain, confirme les pires craintes sur le Digital Services Act (DSA). Derrière des promesses de "régulation", c’est une machine à censurer qui se met en place, visant jusqu’aux simples expressions patriotiques.
Un rapport américain lève le voile : sous couvert de ‘protection’, l’UE va museler toute opinion divergente.
La censure déguisée en « protection »
Le rapport américain expose sans détour le vrai visage du DSA : un outil de contrôle idéologique des échanges sur les réseaux sociaux. Des phrases comme « Je veux reprendre le contrôle de mon pays » ou des critiques contre l’immigration massive seront désormais étiquetées « discours de haine ». Même les réticences par rapport aux voitures électriques n’échapperont pas à la purge. La Commission, dans l’ombre, forme des « signaleurs de confiance » – associations militantes subventionnées – pour traquer le « contenu préjudiciable », y compris l’humour et la satire.
L’hypocrisie bruxelloise
Alors que l’UE se targue de transparence, le séminaire du 7 mai 2025 organisé pour peaufiner la censure a été tenu secret. Les documents fuités montrent une collusion entre régulateurs et plateformes pour supprimer tout ce qui dérange, même légal. Pire : les eurodéputés français, tous partis confondus, ont voté ce texte sans sourciller.
Virginie Jorion qui joue la dissidente du RN l’avoue : « Nous soutenions cette approche [le DSA] à l’origine » avant de déplorer son détournement bien sûr totalement imprévisible. La démocratie ? Un leurre.
Face à cette dérive, X (ex-Twitter) refuse de plier, tandis que les États-Unis dénoncent une atteinte au Premier Amendement. En France, avec Macron appliquant docilement le DSA via la loi Aurore Berger, l’espoir réside dans la mobilisation citoyenne !
Florian Philippot : « Macron et Ursula cachaient cette réunion secrète ! Trump balance tout ! »